Catch à quatre

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il y a 6 ans

Catch à quatre

J'ai 36 ans, je me prénomme Jean-Jacques et j'ai toujours admiré les catcheurs. Je détaille leur anatomie et je préfère les catégories moyennes car le sexe que laisse deviner leur culotte de combat est plus développé proportionnellement à leur corps, que chez les catégories supérieures. J’ai toujours fantasmé sur les prises qui laissent souvent offert aux yeux, le gonflement des sexes dans les slips étroits.

Aussi, à f o r c e de fantasmer, un jour sur minitel je fis passer une annonce ainsi présentée: « Cherche partenaires gays pour catch à quatre en string ». Un correspondant répondit à mon annonce en me demandant des précisions. Je lui répondis que je désirais rencontrer trois gars bien montés si possible. À savoir deux contre deux, puisque mon partenaire s'allierait aux deux autres pour me vaincre et à partir de ma reddition, ils seraient libres de faire de moi ce qu'ils voudraient

Quelques jours après il reprit contact, me précisant qu'il avait trouvé les gars adéquats et une salle de sport aménagée entièrement à notre disposition à partir de 10 heures du soir. Je vous raconte maintenant le déroulement de notre rencontre.

Le rendez-vous pris, nous nous sommes retrouvés au gymnase dont je tairai le nom. Mon correspondant m'a présenté les deux autres. De suite après nous sommes montés sur le ring. Comme prévu nous avions tous un string. Le mien me faisait ressortir les fesses que j'ai la chance d'avoir très appétissantes. Le combat s'est engagé. J'espérais de toutes mes f o r c e s être vaincu. Au bout de quelques minutes, mon partenaire s'adressa aux deux autres en leur disant que j'étais nul et que je méritais une bonne dérouillée. J'ai lutté seul contre trois ; je transpirais à grosses gouttes quand ils ont fini par m'immobiliser, et sans peine.

Ils se sont concertés en me regardant. L'un d'eux s'est approché et m'a arraché le string, puis il s'est muni d'un martinet que son collègue lui avait passé. J'étais sans défense, mes bijoux de famille exposés dangereusement. J'ai reçu un coup de martinet en travers des fesses, j'ai crié sous la douleur. Puis les coups se sont succédés avec application, dirigés sur mon cul et le haut de mes cuisses. Ils me traitaient de salope, j'avais mal, et je me suis mis à gémir. Ils étaient follement excités, leur string était devenu subitement trop petit pour contenir leur érection.

J'ai alors réalisé dans quel guêpier je m'étais fourré. En face de moi, j'avais trois mecs montés comme des étalons, et j'allais très certainement en subir un, sinon les trois, et j’avais un peu la trouille. Ils avaient des queues très grosses et longues, tellement bandées qu'elles ne bougeaient même pas, elles étaient droites et raides à ravir, mais c'étaient de sacrés engins.

L’un deux m'a pris par les cheveux et m'a placé entre les cuisses de celui qui s’était assis sur le rebord d'un siège. J'ai vu son membre congestionné, décalotté devant ma bouche. J'ai commencé par lui lécher le gland, puis à glisser le long de sa hampe, pour enfin l'avaler toute entier. Il me tenait par les oreilles, et m'imposait le rythme qui lui plaisait. Il n'a pas été long à jouir dans ma bouche en me criant : « Que c'était du sperme de vrai mâle, pas comme le mien, lopette ». Il m’a fallu sucer les deux autres, avant de recevoir une nouvelle correction.

Comme dans tous les gymnases, il y avait un cheval d'Arçon. Ils m’ont traîné dessus, m’ont entravé les jambes de façon que je ne puisse bouger. J'offrais ainsi mon arrière train la sodomie. J'ai demandé à ce que ce ne soit pas le plus gros qui me prenne le premier tellement j'appréhendais son immense pal surmonté d'une grosse tête rouge. J'ai essayé d'échapper à leurs mains, mais les liens étaient solides. Il fallait que je subisse.

J’étais à plat ventre, le cul en évidence et très accessible à ces messieurs. « Écarte tes fesses toi-même lopette ! » Je me suis exécuté, mais dès qu'il a essayé de me pénétrer je me suis raidi. Peine perdue, j'étais solidement attaché, et l'autre commençait à me défoncer l'anus. J'ai crié sous la douleur, je sentais mes chairs s'ouvrir en se déchirant, puis il s'est enfoncé subitement. J'ai hurlé, mais quand j'ai senti ses couilles ont touché les miennes, je me suis remis à bander.

Il était tout au fond de moi, j'étais sa femelle. Il a actionné vigoureusement son piston, je le sentais prêt à jouir, et je lui ai dit : « Chéri je suis ta femme obéissante ». Les deux autres bandaient comme des cerfs, ils attendaient leur tour. Moi je bandais aussi, j'étais en train de réaliser mon fantasme.

Quand ils en ont eu assez de moi, ils m'ont détaché et en m'ont obligé à me faire du bien tout seul. « Allez salope, dégorge ton vermicelle, et pense à nous quand ton cul te démangera, nous serons toujours prêts pour toi ».

Malgré toutes les douleurs que j'ai endurées, je me suis promis de revivre une aussi belle soirée. Peut-être que pour ma prochaine expérience, je ferais appel à des noirs, vu qu'avec ce que j'ai déjà pris dans le cul, il ne devrait pas y avoir de problème.

Jean-Jacques

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